Dans les derniers textes que je vous ai publiés, je partageais au sujet de l’amour, l’amour de soi, apprendre à être honnête sur ce qu’on aime.

Comment parfois il n’est pas si simple de se mettre soi-même au centre de l’équation.

Ceci m’amène vers un sujet extrêmement relié,…celui de la liberté.

Une étudiante partageait dernièrement dans un des groupes à quel point elle sentait qu’elle étouffait dans la vie. À quel point toutes ses relations, aussi belles et libératrices qu’elles aient été au début, aussi étouffantes qu’elles devenaient après un certain temps. Peu importe que ce soit une relation avec des parents, des partenaires, des ‘jobs’, etc. Cette sensation d’étouffement finissait toujours par réapparaître.

Est-ce les circonstances extérieures qui sont responsables de notre sensation d’étouffement ou nous-mêmes qui nous étouffons en bout de ligne?

Qu’est-ce qui crée cette pression?

J’insiste beaucoup en classe sur ce point :

Nos circonstances extérieures sont réellement un miroir de ce qu’il se passe en nous.

Si une partie en nous, dans le corps, est habituée d’être étouffée, ennouée, non-entendue pour ses besoins réels, et bien,…peu importe où vous irez, vous étoufferez. Vous attirerez des situations qui vous garderons dans cette boucle d’étouffement.

Par exemple, si vous avez ce profil qui adore donner, s’occuper des autres, prendre le fardeau des autres sur les épaules, tenter de régler tous les conflits relationnels autour, etc., mais qu’en bout de ligne vous vous perdez dans le service pour les autres, que vous êtes brûlés et que vous avez l’impression de ne plus avoir d’espace pour vous, il est normal que vous étouffiez et que ce besoin de liberté se réveille un moment donné ou l’autre.

Est-ce que vous avez besoin de tout lâcher ou de changer de pays pour avoir cette liberté?

Non, bien sûr que non.

Tout réside dans l’intention sincère de vous remettre au centre de votre équation. Tout réside dans ce choix conscient de s’occuper de vous-mêmes, de vous créer une structure qui fait du sens pour vous, une structure et des actions qui respectent vos besoins et qui s’équilibrent avec ce qui est important pour vous.

Et ce, à n’importe quel prix.

Pourquoi attendre de tomber malade ou de pousser son corps à l’extrême pour comprendre la leçon?

J’ai une étudiante qui m’a confirmé dernièrement qu’un simple 5 minutes par jour inséré dans son quotidien pour se ‘recentrer’, relaxer les tensions accumulées et se déposer en elle fait une énorme différence dans sa journée, tout en ayant un impact aussi dans la manière qu’elle interagit avec les autres.

Je vous lance le défi.

Essayez!

Et si vous souhaitez me partager vos réalisations, je vous lirai avec plaisir.

N’hésitez pas aussi à me contacter si ce type de voyage intérieur vous intéresse. Je serai ravie de vous guider et vous aider.

Bon ‘self’ time